Friday, January 10, 2014

Leçon de vie


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai compris qu'en toutes circonstances,
j'étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j'ai pu me relaxer.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... l'Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n'étaient rien d'autre qu'un signal
lorsque je vais à l'encontre de mes conviction
Aujourd’hui je sais que cela d’appelle l’Authenticité

Le jour où je me suis aimé pour le vrai
         j’ai cessé de vouloir une vie différente
         et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
         contribue à ma croissance personnelle
         Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle …la Maturité

Le jour où je me suis aimé pour le vrai
         j’ai commencé à percevoir l’abus
         dans le fait de forcer une situation ou une personne
         dans le seul but d’obtenir ce que je veux
         sachant très bien que ni la personne ni moi-même
         ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment
         Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle …le Respect

Le jour où je me suis aimé pour le vrai
         j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes,
         situations, tout ce que baissait mon énergie
         Au début ma raison appelait cela l’égoïsme
         Aujourd’hui je sais que cela s’appelle l’Amour propre

Le jour où je me suis aimé pour le vrai
         j’ai cessé d’voir peur du temps libre
et j’ai arrêté de faire de grands plans
J’ai abandonné les mégas-projets du futur
Aujourd’hui je fais ce qui est correct ce que j’aime
quand cela me plait et à mon rythme
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…la Simplicité

Le jour où je me suis aimé pour le vrai
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé
Aujourd’hui j’ai découvert… l’Humilité

Le jour où je me suis aimé pour le vrai
j’ai cessé de revivre le passé
et de me préoccuper de l’avenir
Aujourd’hui, je vie au présent
là où toute je vie se passe
Aujourd’hui, je vis une seul journée à la fois
Et cela s’appelle …la Plénitude

Le jour où je me suis aimé pour le vrai
J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir
Mais si je la mets au services de mon cœur
elle devient une alliée très précieuse
Tout ceci c’est …le Savoir vivre

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter
Du Chaos naissent les étoiles


Kim & Alison Mcmillen 2001

 

Sunday, October 6, 2013

Nouveau document aidant à faire le diagnostic de la fibromyalgie



DÉFINITION CLINIQUE CANADIENNE DU SFM
Les deux critères obligatoires de la douleur (tirés des critères de lAmerican College of Rheumatology de
19909) sont complétés de signes et de symptômes cliniques additionnels afin délargir la classification du
SFM de manière à obtenir une définition de travail de cas clinique de ce syndrome.
      1. Présence obligatoire d’ANTÉCÉDENTS de douleur diffuse. La douleur est considérée comme diffuse lorsque tous les types suivants de douleur sont présents depuis au moins trois mois :
       douleur  des deux côtés du corps
       douleur sous la taille et au-dessus de celle-ci (incluant douleur lombaire)
      douleur  du  squelette  axial  (colonne  cervicale,  thorax  antérieur,  colonne  dorsale  ou  région lombaire). La douleur aux épaules et aux fesses est comptée comme une douleur des deux
côtés du corps. Le bas du corps est le segment inférieur.
       2. Présence obligatoire de DOULEUR À LA PALPATION à au moins 11 des 18 points suivants définis comme « points
sensibles »:
       Occiput (2) : aux insertions des muscles suboccipitaux
      Région cervicale inférieure (2) : aux faces antérieures des espaces intertransverses (espaces entre les processus transverses) aux C5 – C7
       Muscle  trapèze  (2) :  au  point  médian  de  la  limite supérieure
      Muscle supra-épineux (2) : origine, au-dessus de l’épine de l’omoplate, près de sa limite médiale.
       Deuxième côte (2) : juste au côté des deuxièmes
charnières costo-chondrales, sur les surfaces supérieures des côtes
      Épicondyle latéral (2) : à 2 cm des épicondyles (dans le muscle brachio-radial)
       Muscle fessier (2) : dans les quadrants supérieurs
externes des fesses, dans le pli antérieur du muscle
      Grand trochanter (2) : partie postérieure de la grosse éminence trochantérique
      Genou (2) : couche adipeuse de la face médiale près de la ligne articulaire
 
 
Points (gâchettes) du SFM (TrPs)
      3. Autres signes et symptômes cliniques : En plus de la présence obligatoire de douleur et de sensibilité à la  palpation pour la classification du SFM aux fins de la recherche, de nombreux autres signes et
symptômes cliniques peuvent contribuer de façon importante au fardeau de la maladie pour le patient. Au
moins deux de ces symptômes sont présents chez la plupart des patients souffrant du SFM au moment où ils se présentent en consultation. Par contre, il est rare quun patient souffrant du SFM affiche tous les signes ou symptômes assocs à ce syndrome. En conséquence, le tableau clinique du SFM peut varier, et les profils des sges douloureux peuvent entraîner l’identification de sous-groupes cliniques du SFM. Ces signes et symptômes cliniques additionnels ne sont pas obligatoires pour la classification du SFM aux fins de la recherche, mais ils sont quand même importants sur le plan clinique. C’est pourquoi les signes et symptômes cliniques suivants sont pertors et décrits; ils permettent délargir les critères obligatoires relatifs à la douleur de manière à obtenir une définition de cas clinique du SFM :
     Manifestations neurologiques : Des difficultés neurologiques sont souvent présentes, par exemple une hypertonie et une hypotonie des muscles; une asymétrie musculo-squelettique et une dysfonction des muscles, des ligaments et des articulations; des profils atypiques dengourdissement et de fourmillements; une action anormale des contractions musculaires, des crampes musculaires, une faiblesse musculaire et des fasciculations. On constate souvent des céphalées, un trouble des articulations temporo-mandibulaires, une faiblesse géralisée, des troubles de la perception, une instabilité spatiale et un phénone de surcharge sensorielle.
        Manifestations neurocognitives : Des difficuls neurocognitives sont habituellement présentes.
Celles-ci comprennent une atteinte de la concentration et de la consolidation de la mémoire à court terme, un ralentissement de la performance, une incapacité à effectuer plusieurs tâches simultanément, une distractibilité facile et/ou une surcharge cognitive.
        Fatigue :  Il  se  produit  une  fatigue  persistante  et  réactive  accompagnée  dune  diminution  de
l’endurance physique et mentale, qui nuit souvent à la capacité dun patient à faire des exercices.
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www.fibromyalgie-fqf.org/sfm-abrege-fr.pdf